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Poulain Patrick
Licence informatique rendu le 10-02-2005
Université de bourgogne
Connaissances Générales
Projet Professionnel
A l'intention de Monsieur Genty
Introduction :
Ce rapport illustre mon projet professionnel et donc ma vision de mon futur emploi. Pour l'instant mes idées sont encore vagues et rêveuses et je souhaite les préciser et réaliser mes rêves. Pour moi le secteur de l'informatique est un domaine ou je m'épanouis totalement dans ma quête de connaissance et d'évolution.
Dans un premier temps je fait un inventaire de mes qualités et de mes défauts ce qui m'a permis de mieux cerner mes attentes et mes prédispositions à un emploi. Ensuite, j'ai rédiger un bilan des mes connaissances que j'ai acquises au cour de mes différents projets. Puis, j'ai répertorié différents articles parus sur Internet afin de connaître l'évolution du marché du travail dans le secteur de l'informatique. J'ai ensuite sélectionné quelques postes possibles pour mon futur travail. Enfin je vous présente mon projet professionnel, les orientations que j'aimerai prendre, pourquoi ces orientations me semblent pertinentes face à l'évolution du secteur de l'informatique, ainsi que mes motivations à occuper les postes sélectionnés précédemment.
I - Mes qualités - mes défauts
1 - Mes qualités
2 - Mes défauts
II - Mon parcours : mes projets
1 - ADA
2 - C/C++
3 - JAVA
2 - PHP/Base de Donnée/HTML/Macromédia Flash
3 - Javascript
C - Base de données
1 - SQL/PostgréSQL
3 - Oracle/SQL
D - Logiciels
1 - Microsoft office
2 - Mapple
3 - Photoshop/Gimp
III - Le marché de l'emploi de l 'informatique
A - Evolution
1 - 2002-2003 : La chute des années folles
1 - SSII
2 - Agence Web
3 - Multi nationale de l'informatique
1 - Développeur d'application web
2 - Intégrateur Web
2 - Le développement du haut débit
B - L'entreprise
C - Intérêts portés sur les différents postes
Lors de mon stage à l'IGA et pendant mes différents jobs d'été, j'ai remarqué que mon adaptation au seins de mon environnement de travail était plutôt rapide. Que ce soit dans de grandes structures (l'IGA est un laboratoire de l'UJF de Grenoble dont les locaux se trouvent dans un bâtiment regroupant d'autres laboratoires et l'IUP de géographie) ou dans des situations plus intimistes (lors de la préparation du catalogue pour les mohairs missègle, je travaillai uniquement avec le chef de l'entreprise), je trouve facilement mes repères spatiaux et je sais à qui m'adresser pour obtenir une information ou un service.
En ce qui concerne mes projets en groupe je me considère comme un élément moteur du travail. J'arrive facilement à faire comprendre mes idées aux autres et à les persuader de la cohérence de mes opinions. Lorsqu'un nouveau projet me tient à coeur, l'optimisme avec lequel je l'aborde me permet de me motivé et de transmettre cette motivation aux autres membres de l'équipe.
De manière générale j'utilise beaucoup mes sens de perceptions pour résoudre un problème, me faire un idée sur quelqu'un ou quelque chose. Je ressens beaucoup mon environnement de travail et l'observation de son évolution me permet de réagir face aux événements imprévus de manière adéquate.
Tant que le travail m'intéresse et me donne des possibilités de m'exprimer, l'énergie que j'investis dans la tâche qui m'est confiée est quasi inépuisable. Les heures défilent et je ne m'arrête qu'une fois que mon objectif est atteint.
Je m'investis d'autant plus dans un projet,si celui-ci présente des aspects novateurs et apporte une vision nouvelle des problèmes qu'il tente de résoudre. Le "déjà fait" ou le "déjà vu" m'intéresse uniquement si il propose une amélioration par rapport à l'existant. Tout ce qui est nouveau dans les domaines que j'apprécie me passionne et me donne envie de m'investir pour développer ce milieu.
J'ai toujours été confiant dans mes capacités à improviser. Je ne suis pas très à l’aise avec la théorie, ce qui m'a parfois handicaper lors de ma scolarité. D’un autre côté, pour moi, le savoir ne s’acquiert pas dans un livre, mais plutôt sur le terrain. J'aime également apprendre au contact des autres et profiter de leurs expériences propres.
Je suis assez réaliste car quand un projet me parait utopiste, et même si celui-ci est novateur, je ne souhaite pas y participer. J'ai les pieds sur terre et mon optimisme m'empêche de participer à des projets irréalisables de peur de devenir pessimiste. Les problèmes, je les attaque de front et ce, dès qu’ils apparaissent. Dès qu’une activité ou qu’un travail est achevé, j'essaie immédiatement d’en mesurer les retombées. Si rien n’en ressort, je risque d'être démotivé et de me désintéresser de cette activité.
Lorsque je suis stressé ou que je ne trouve pas une solution, des pensées négatives peuvent m'envahir. Dans mon combat contre ces sentiments négatifs, j'essai de raisonner simplement pour expliquer ce qui ne va pas. Que ces déductions simples soient correctes ou fausses, le principal est qu'elles me permettent de franchir les obstacles qui se dressent devant moi.
Malgré mon investissement total dans mon travail lorsque je suis à l'ouvrage. Je sais me réservé des moments de détente. Que ce soit en faisant du sport, discutant avec des amis ou en regardant un film, j'ai besoin m'évader. Ces moments sont très important pour moi et me permettent de me ressourcer. Quand je suis dans un moment de détente je fais totalement abstraction des problèmes rencontrés au travail. Cependant quand un moment d'inactivité s'offre à mon esprit, il n'est pas rare que celui-ci fasse l'inventaire des problèmes rencontrés sur un projet ou encore celui du travail qu'il reste à faire.
Lors de mes expériences professionnelles dans le domaine de l'informatique j'ai constaté que je préfère travailler de manière indépendante. Par là, je sous-entend que j'aime prendre les décisions concernant mon propre travail. J'accepte volontiers venant d'une tierce personne, les recommandations ou les directions que mon travail doit prendre, mais je préfère choisir la manière d'y parvenir.
Par chance, mes supérieurs m'ont toujours laisser une grande marche de manoeuvre pour la réalisation de leurs projets et cela m'a permis de m'impliquer dans la tâche qu'ils m'ont confiée.
Je suis de nature expressive et spontané. Les contacts avec des personnes me permettent de retirer une énergie positive pour mon travail. J'ai besoin de connaître l'avis de mon entourage (professionnel ou personnel) sur mon travail afin de le confronter à la réalité et de pouvoir améliorer son utilité.
J'aime confronter ma manière de voir le travail à réaliser et la manière de le traiter avec d'autres personnes que ce soit mon travail ou le travail d'un autre.
J'ai des difficultés dans la répartition des tâches dans le temps. Je n'arrive jamais à m'avancer dans le travail à effectuer et je travail souvent à la dernière minute. Je remet au lendemain ce que je pourrai faire aujourd'hui tant que la date butoir est lointaine. Je préfère travailler par large tranche horaire au dernier moment plutôt que de travailler un petit peu sur une longue période.
Lorsque je travail mon espace de travail subit totalement le bouillonnement de mon cerveau. Il ressemble beaucoup plus à un champs de bataille qu'à un espace organisé et structuré. Personnellement cela ne me dérange pas trop car je sais plus ou moins dans quelle "pile" se trouve tel document ou alors où est tel fichier sur mon disque dur. Cependant je reconnais qu'un espace de travail organisé me permettrait de gagner du temps et d'éviter les remarques de mon entourage du genre : "Comment fait tu pour travailler dans un bord*bip* pareil ?".
Il m'est impossible de respecter une autorité quasi militaire. Je préfère parler de collaborateur plutôt que de supérieurs hiérarchiques. J'accepte volontiers les recommandations ou les souhaits d'un supérieur, mais en aucun cas je ne prendrai en compte un ordre direct sans possibilité d'explication. J'estime avoir besoin de ces explications pour mieux comprendre les souhaits de la personne qui me demande d'effectuer une tâche pour elle. Ensuite je souhaite pouvoir donner mon avis si ce travail n'est pas réalisable ou si il nécessite une autre approche que celle donnée par mon supérieur.
Dans cette partie je vous présente une partie des projets que j'ai réalisé depuis mes débuts dans le domaine de l'informatique. Le but de cette partie est d'illustrer comment j'ai acquis mes connaissances en informatique et dans quel contexte je les ai utilisées.
Appris lors de ma première année et approfondi lors de la seconde année. Ce langage fut le premier langage que j'ai découvert. C'est avec lui que j'ai appliqué les concepts de l'algorithmie que l'on m'a enseigné à l'iut. Les enseignants de l'iut ont, je pense, choisi ce langage pour sa facilité d'utilisation (utilisation de mot clé en anglais) contrairement au C/C++ qui auraient pu nous poser problème lors de notre première approche de la programmation à causes des symboles "barbares" qu'il utilise (Ex : a+=b++ est un peu rebutant pour un débutant).
Année : Première année d'iut informatique à Grenoble.
Type : Projet en Binôme.
OS : Linux Debian/Sun.
Ce projet était une application de nos connaissances apprises durant notre enseignement de programmation, il était une sorte de conclusion à notre apprentissage de l'ADA. Cette application fut mon tout premier projet informatique.
Une application fonctionnelle, sans bugs, et qui répondait aux sujets.
Appris lors de mes années à l'iut. Ce langage m'a permis d'apprendre les concepts de la programmation objet. C'est le langage que j'ai utilisé le plus souvent, et donc que je connais le mieux. J'apprécie particulièrement ce langage de programmation pour l'étendue des possibilités qu'il offre mais je regrette la complexité de l'utilisation des pointeurs.
Type : Projet en Binôme.
Année : Deuxième année d'iut informatique à Grenoble
Environnement : Linux Debian/Sun, Gcc.
Ce projet consistait en la création d'un pseudo langage de programmation et son interpréteur. Ce langage se limité aux opérateurs de bases (+,-,=,*, /,), structures de contrôle et de boucle (while, for, if...). Ce projet était la conclusion de notre enseignement de génie logiciel et l’application des concepts de la programmation objets.
Une application fonctionnelle, avec des bugs minimes n'affectant pas le fonctionnement (bug de présentations des résultats). Cette application répondait aux exigences du sujet et présentée des fonctionnalités supplémentaires.
Type : Projet en groupe de six.
Année : Deuxième année d'iut informatique à Grenoble
Environnement : Windows XP, Visual C++.
Ce projet a duré 6 mois et avait pour but de comprendre et d’utiliser la libraire graphique OpenGL (équivalent à Direct X) utilisée pour la création de jeux vidéo. Ce projet fut réalisé par groupe de 6 et devant l'étendue du sujet, et afin d'organiser correctement le travail en groupe nous avons choisi d'étudier par binômes des domaines spécifiques de l’infographie. Les différents domaines aborder lors de cette étude étaient :
- Le calcul des faces cachées : Utilisation des arbres BSP.
- La création d'une caméra virtuelle.
- L’explication des différentes primitives de dessin.
- La gestion des collisions.
- La création d'une structure de données permettant la représentation des objets 3D et les primitives de transformations de ces objets (rotations, translations, mise à l'échelle).
- La création d'un chargeur de fichier ASE (import de fichier 3Dsmax).
- La présentation des textures, de la transparence, du brouillard.
- La gestion des interactions avec la scène
- Le Billboarding (effet 3D permettant de faire un apparaître un objet 2D comme un objet 3D par rotation de celui-ci).
- L'explication du système de lumière
- La conception d'un modèle pour les ombres.
Pour ma part, je me suis chargé de la conception de la structure de données des objets 3D, de l'explication du système de lumière et de la conception du modèle d'ombre.
Ce projet fut pour moi une révélation dans le sens ou je continue toujours à développer mes créations dans ce domaine. Je continue de développer la structure de données par la création d’une classe permettant la gestion des matrices qui pourrait améliorer le système d'ombre.
Six petites scènes 3D permettant l'illustration les concepts et techniques étudiés lors du projet. Pour mes réalisations un problème de gestions de la mémoire dans le modèle d'ombre qui devrait ce résoudre avec l'utilisation de ma classe matrice encore en développement.
Année : Troisième année de BSC informatique à Edinburgh
Type : projet seul.
Environnement : Windows XP, Visual C++, Pocket PC.
Ce projet proposé la création d'un jeu vidéo sur PDA en utilisant la librairie graphique 2D Gapidraw. Pour ma part j'ai choisi de créer un Pong en 3D étendant les fonctionnalités de la librairie et en l'utilisant pour représenter des objets 3D.
Un choix trop complexe pour les PDAs et pour moi. Ce projet c'est traduit par un échec car je n'ai pas réussi à gérer correctement les allocations de mémoires du PDA. Mon problème principal était que la programmation se faisait par l'utilisation d'un émulateur de PDA et que la gestion de la mémoire me paraissait mal abouti sur cet émulateur.
Année : Deuxième année d'iut informatique à Grenoble
Type : projet en groupe de 3
Environnement : Linux, Java Runtime Environnement, GCC java
Ce projet à permis l'application de l'enseignement de modélisation UML reçu à l'iut et la découverte du langage de programmation objet Java. Ce système permettait la gestion des accès aux salles, bâtiments par le biais de l'insertion de badge. Plus précisément ce système gérait les permissions d'accès et les ouvertures des portes de l'université de manière virtuelle.
Un projet fonctionnel mais qui à mes yeux ne présenté pas grand intérêt dans l'apprentissage du Java mais plutôt dans l'approche de la programmation objet grâce à l'UML. En effet nos diagrammes et la programmation des modules étaient tellement détaillés qu'il nous suffisait de traduire les algorithmes du pseudo langage conceptuel au java. Malgré avoir réalisé ce projet en Java, je ne considère pas que je sais programmer en Java comparer à mes connaissances en C++, mais les deux langages comportent tellement de similitude que je pense être capable de développer en Java.
Année : Deuxième année d'iut informatique à Grenoble
Type : projet seul.
Environnement : Linux/Sun, Serveur HTTP Apache mod PHP, Serveur de base de données PostgréSQL.
Ce projet fut ma première approche de la programmation web. J'ai appris les bases de la programmation web ne utilisant HTML et PHP, ainsi que la configuration d'un serveur apache. Ce site devait fournir un moyen de gérer les salles de cinéma, les séances et les films.
Un site web fonctionnel sans bug mais graphiquement pauvre, en effet l'aspect graphique des sites web n'a pas était abordé lors de ce projet.
Type : projet personnel
Environnement : Linux Mandrake/Windows XP, Serveur Apache mod PHP, Serveur de base de données MYSQL.
Ce projet personnel a pour but de créer un espace de partage de photos entre mes amis et moi sur internet. Il permet la consultation de photos, l'ajout de photos avec leurs informations (auteur, date, lieu...), la gestion des utilisateurs, l'accès sécurisé à l'espace photos, la gestion d'invités (personne ayant était invitée sur le site par un membre pour voir un ensemble précis de photos définit par l'hôte). La finalité de ce projet est de créer un site web "installable" chez tous les hébergeurs, afin de permettre la création d’autres communautés d'échanges de photos.
Une première version fonctionnelle du site (http://petitchevalroux.free.fr/lespotosducoin/) est en ligne mais devant le manque d'utilisation et donc de retour pour la correction et l'amélioration le développement est actuellement stoppé.
Type : Projet de groupe
Année : Troisième année de BSC informatique à Edinburgh
Environnement : Windows XP/ Linux Mandrake, Serveur de base de donnée MySQL, Serveur Apache mod PHP
Ce projet faisait partie d'un module intitulé Group Project et était réparti sur une durée d'un semestre. Le but de ce module était de nous apprendre à travailler en groupe et de nous montrer les différentes caractéristiques des projets à plusieurs. Le sujet des projets était libre et nous avons choisi de créer un site web pour le magasine Eh Magazine et la maison d'édition Eh Publication qui était (le magasine a cessé ses parutions à cause des coûts de la publication) un magazine auto édité gérer par des étudiants en journalisme. Ce magasine avait comme ligne directrice les événements culturels qui se déroulaient à Edinburgh et de manière générale tout ce qui avait attrait à la culture et à Edinburgh (personnages, lieux...).
Du point de vue informatique, le but du projet était de réaliser un site web avec une interface utilisant les technologies Flash et HTML dont le contenu pouvait être mise à jour grâce à l'utilisation de PHP et d'une base de données Mysql. Le site était diviser en deux partie : une partie accessible à tous les internautes permettant la consultation des articles, la consultation des offres de participations au magasine, l'inscription pour des sponsors qui souhaitaient paraître dans le magasin, et la présentation de toute les activité de la maison d'édition et du magazine. La seconde partie était une interface d'administration du site permettant de mettre à jour les informations contenues dans la base de données (mise en ligne d'article avec images, édition des articles..., consultation des sponsors inscrits, mise à jour des points de vente, mise à jour des offres de participation, consultation des propositions des participations...).
Nous avons réussi à créer un site répondant aux attentes des membres du magasine d'un point de vue fonctionnalités et graphique. L'aspect graphique était une composante très importante de ce projet et l'utilisation de Flash nous a permis de créer un site convivial. Personnellement je me suis beaucoup investit dans ce projet et j'étais fier du résultat, mais je regrette que la cessation des activités de Eh magazine et Eh Publication est entraîné une suppression du site quelques mois après sa création.
Durant tous mes projets de programmation web, j’ai eu à utiliser le Javascript qui est à mon avis la seule technologie pour donner un aspect dynamique à un site web sans utiliser Flash. Je ne suis pas un concepteur chevronné de Javascript mais en générale je réussi à faire ce que je souhaite avec ce langage. Le problème que je rencontre avec ce langage est le manque d’uniformité (dépendant des navigateurs) et de documentation officielle. J’ai appris le Javascript de manière autonome en regardant les différents scripts et documentations disponibles sur les sites spécialisés.
Remarque : Mon expérience des base de données ne se limite pas à ces projets mais les autres font partie de projet de programmation web ont déjà était évoqué.
Type : projet en binôme
Année : première année d'iut informatique à Grenoble
Environnement : Linux Debian, PostgréSQL
Ce projet fut ma première approche de la conception de base de données. La conception de cette base de données était une application de mon enseignement de base de données de l'iut. Cette base de données ne comportait pas d'interface graphique et permettait la gestion des prêts de bateau des adhérents de l'association, la gestion des paiements des cotisations de ces adhérents et la gestion des diverses sorties organisés par l'association.
Une base de données appliquant les concepts de vue, de trigger, de droit et de manière générale les concepts relatifs à la conception d'une base de données relationnelle. La base de donnée répondait aux attentes du sujet.
Type : Stage en entreprise
Année : Deuxième année d'iut informatique à Grenoble
Environnement : Access 97, Mapinfo, Windows NT
Ce stage s'intégrait dans le cadre de la réalisation d'un outil géographique d'aide à la décision concernant les schémas d'aménagement et de gestion de l'eau. Le travail réalisé consistait en la mise en place d'une base de données relationnelle grâce au logiciel Access 97 de Microsoft. Le but de cette base était de fournir aux hydrologues et aux géographes des données relatives à la gestion eau. Ces informations permettent ainsi aux utilisateurs de mettre en place des solutions afin de limiter la dégradation générale des milieux aquatiques et de la qualité de l'eau.
Ce stage c'est effectué dans un laboratoire de recherche à l'Institut Géographique Alpine qui est une UFR de l'université Joseph Fourrier de Grenoble. Mon maître de stage était monsieur Nedjai Rachid (enseignant et chercheur à l’IGA).
Ce projet était en faite la reprise d'un système conçu par monsieur Nedjai et implémenter par un étudiant de l'iut l'année précédent mon stage. Mon but était de corrigé les bugs du système lors de la consultation de donnée, d'implémenter l'insertion des données et d'étendre les fonctionnalités (import de données, tableau de bord permettant une vision globale de l'évolution des données, création d'états dynamiques répondant aux problèmes de l'impression des données, conception d'un module permettant la personnalisation de l'organisation des informations dans l'interface en regroupant les informations par thèmes).
L'insertion et la consultation des données ont été terminées même si quelques bugs subsistaient à la fin de mon stage. Les fonctionnalités ajoutées étaient utilisables sans bugs majeurs exceptés pour la gestion des états dynamiques.
Personnellement je n'ai pas particulièrement apprécié le travail sur cette base de données car je pense que le SGBD Access est mal adapté pour la réalisation d'une base de données d'une telle complexité (120 tables) et demandant une visualisation dynamique de l'évolution des données. Je regrette de na pas avoir implanter cette base de données en utilisant les technologies HTML/PHP/Serveur de base de données qui me paraissent plus flexibles et me sont plus familières.
Type : projet en binôme
Année : Troisième année de licence informatique à Dijon
Environnement : Unix, Oracle
Cette base de données est une application de nos enseignements de modélisation UML et de base de données. Ce système n'a pas d'interface graphique et permet la gestion des comptes courant, rémunéré, titre, des clients des mécanismes de calcul des agios, d'opposition, globalement cette base de données permet la gestion des comptes et répond aux attentes du secteur bancaire dans ce domaine.
L'analyse UML du sujet et réalisé et la base de données est en cour d'implémentation
J’utilise la suite bureautique office lors de mes rédactions de dossier. J’ai souvent eu recourt au différent logiciel de cette suite lors de mon expérience informatique. J’ai eu une formation sur Excel lors de mes années à l’iut de Grenoble dans mon enseignement de comptabilité. Pour la création de mes schémas de modélisation j’utilise Publisher car il est plus puissant que l’éditeur de schéma de Word et permet l’exportation des schémas en format image. En ce qui concerne Access je l’ai découvert lors de mon stage et j’ai passé deux mois à l’utiliser et je n’apprécie vraiment pas son approche des bases de données. Enfin PowerPoint m’a permis de créer des présentations pour mes soutenances de projets.
Je maîtrise bien ces logiciels sans être un expert excepté peut être pour Access que je maîtrise bien grâce a mon stage à l’IGA.
Lors de ma première année d’iut j’ai reçu une formation sur ce logiciel de mathématique. Nous l’utilisions pour appliquer les principes que l’on nous enseigner en cour de mathématique (cryptographie, statistique, calcul matricielle).
Je ne dirai pas que je "maîtrise" un tel logiciel car comme mon niveau en mathématique lors de l’utilisation de logiciel était moyen je ne comprenais pas toutes les possibilités de ce logiciel. Je dirai donc que j’ai plutôt des notions de Mapple.
J’utilise indifféremment ces deux logiciels de retouche d’image surtout pour mes projets de site web. Je les utilise pour la création de cadre de décoration… J’ai appris seul l’utilisation de ces deux logiciels et j’ai beaucoup appris à utiliser Photoshop lors de l’élaboration d’un catalogue pour une société de vente d’article en laine mohair.
Techniquement je maîtrise assez bien ces deux logiciels pour la retouche d’image. En ce qui concerne la création je ne suis pas capable de créer de magnifiques images mais plutôt des décorations pour des sites web.
Cette partie est une revue de presse sélectionnant les différents articles illustrant l'évolution de l'informatique au cour des dernières années.
source : www.lesjeudis.com
Les années folles (2000-2003), pendant lesquelles les start-ups, surfant sur la vague de développement Internet, faisaient rêver tout le monde avec leurs promesses de résultats et d'argent facile. Le secteur de l'informatique est tombé de haut lorsque la réalité l'a rattrapé. La crise noire des années 2002 2003 à fait perdre en France 48408 emploi sur les 668 000 informaticiens salariés, soit une hausse de 23 % des demandeurs d’emploi en informatique sur l’année 2003 après une hausse de 54% entre le 1er trimestre 2002 et le 1er trimestre 2003 (chiffres ANPE). Le taux de chômage sectoriel est d’environ 8 %, - près du double du taux de chômage moyen des cadres en France.
source : www.lesjeudis.com
Après les années noires, l’année 2004 semblait enfin sous le signe de l’embellie. Ce qui s’explique en particulier par le regain d’activité des SSII : leur taux d’activité était largement supérieur à 2003 et le volume de leurs affaires était croissant. Les prévisions de recrutement revue à la hausse : l’informatique est la fonction qui enregistre la plus forte croissance, selon l’Apec, avec 45% d’offres supplémentaires au début 2004. Les plans de recrutement redeviennent ambitieux, à l’image de SOGETI-TRANSICIEL qui prévoyait d’embaucher 2500 personnes en 2004. La mauvaise période des appels d’offres sans lendemain paraissait être passé.
La reprise de la croissance du secteur "logiciels et services" en France - 4% selon le Syntec Informatique en 2004 n'a pas été accompagnée d'une reprise forte de l'emploi.
La chambre syndicale des SSII et éditeurs avance une croissance nette de 1,5 à 2% des effectifs sur l'année, représentant environ 5 000 postes. Les embauches restent donc timides et concernent des profils types, Bac+5 avec 3 à 10 ans d'expérience ou "experts". Les jeunes diplômés, et surtout les seniors, ont ainsi encore du mal à trouver leur place sur le marché, mais la situation devrait se réguler si la croissance se confirme.
Côté budgets informatiques en Europe, ils sont en augmentation en 2004, mais l'augmentation est globalement inférieure à celle prévue en Asie. Le cabinet IDC a défini en moyenne une croissance de 5% de la dépense informatique des entreprises dans le monde en 2004, estimée à 825 milliards de dollars par Forrester Research.
La France est quant à elle globalement à la traîne. Alors que les Etats-Unis affichent un taux de croissance de 6% des dépenses informatiques en 2004, l'Hexagone avance une hausse de 2,6%. Une étude du cabinet de conseil Acadys note que le budget global attribué aux technologies de l'information représente environ 3% du chiffre d'affaires des entreprises.
source : www.journaldunet.com
L'étude de Forrester Research fait cependant apparaître des divergences par zones géographiques et surtout, par secteurs d'activités. Le secteur finance / assurance et les entreprises publiques se détachent selon l'étude réalisée par le cabinet Forrester Research - auprès de 1 377 décideurs - 46% des entreprises américaines de plus de 20 000 salariés augmenteront leur budget IT en 2005. Seules 15% de ces entreprises le diminueront, le reste le maintenant à l'identique.
Toutes tailles d'entreprises confondues, le pourcentage de celles qui dépenseront plus l'an prochain est de 40% aux Etats-Unis et de 32% en Europe. Sur le vieux continent, la France et les pays de l'Europe du sud sont les moins optimistes, contrairement aux pays de l'Europe de l'est et des pays germanophones.
Si l'on se penche sur les secteurs les plus "porteurs", la finance / assurance, les entreprises publiques et celles évoluant dans les médias et les loisirs se détachent du lot. A 52%, les décideurs du secteur finance / assurance envisagent se dépenser plus en 2005 (18% moins). Ils sont 39% dans le secteur public (11% moins) et 38% dans le secteur des médias / loisirs / divertissements (13% moins).
Suivent les secteurs des services commerciaux (business services) avec 37% d'optimistes, le commerce de détail et de gros (35%), le secteur manufacturier (33%) et pour finir les télécoms et l'énergie (29%). Le cabinet d'études Forrester Research s'est par ailleurs penché sur les entreprises ayant déjà expérimenté l'externalisation en mode offshore : 48% d'entre elles ont l'intention de dépenser plus l'an prochain, alors que celles qui n'ont jamais eu recours à ce type de prestations ne sont que 38% à vouloir augmenter leur budget IT.
Enfin, Forrester Research a étudié les prévisions de dépense des entreprises en fonction de leurs éditeurs et fournisseurs principaux. Les entreprises dont le coeur du système d'information est piloté par Siebel sont 40% à prévoir de dépenser plus, 39% pour les clients de PeopleSoft, 34% pour ceux d'Oracle Applications et 28% pour ceux de SAP. Côté infrastructure, 37% des clients de HP sont optimistes, 34% pour IBM, 33% pour Dell et 30% seulement pour Sun Microsystems.
Ces indicateurs arrivent à point nommé compte tenu du fait que les entreprises entament leurs processus de planification budgétaire pour l'année suivante dès les mois de septembre ou octobre. Une fois la période estivale passée, les décideurs se mettront donc directement à l'ouvrage et consulteront peut-être l'étude pour se comparer aux autres.
source : www.journaldunet.com
Société spécialisée dans les prestations de service dans le domaine informatique. Ces prestataires, dont le développement s'est très nettement accéléré dans les années 1970, exercent tout d'abord des activités d’étude et de conseil en matière de systèmes informatiques, tant en ce que concerne les matériels, les logiciels, les progiciels et les réseaux. Il peuvent être impliqués dès le départ d'un projet, s'associer à sa réalisation en fournissant des équipes de développement, et en assurer le contrôle qualité. Les SSII peuvent être spécialisées par compétences techniques (réseaux et télécoms, informatique industrielle, gestion, etc.) ou par secteur économique (banque, distribution, etc.). Les plus importantes d'entre elles (Cap Gemini qui a acheté la société de conseil Ernst & Young, Unilog, Steria, Syseca,...) sont capables d'aborder tous les domaines techniques dans tous les métiers. Près de 80% des SSII françaises sont regroupées au sein d'une chambre syndicale, Syntec Informatique, qui représente 192 000 collaborateurs répartis dans 450 groupes et sociétés membres. L'appellation SSII a succédé au début des années 1980 à celle de SCSI (société de conseil et de service informatique) sans doute pour éviter la confusion la confusion avec la norme SCSI (Small Computer System Interface.
source : www.journaldunet.com
Prestataire de services pouvant prendre en charge la conception et la réalisation d'un site Internet. Le terme "web agency" désigne plutôt une entreprise issue du monde de la communication publicitaire par opposition au terme SSII (société de services et d'ingénierie informatique) qui s'applique à des prestataires aux compétences plus technologiques. D'abord occupé par des pionniers de l'Internet (imagiNet, Alpaga, Cythère...), le secteur des "web agencies" a, dans les années 1999-2000, vu la montée en puissance à la fois des groupes de publicité traditionnels, des prestataires informatiques spécialisés (Fi System, SQLI...) voire des cabinets de conseil internationaux (Cap Gemini Ernst & Young, Andersen...).Fin 2001, le dilemme des web agencies se résumait ainsi : être ou ne pas être (hyper)technologique, être ou ne pas être international ?
Ce type d'entreprise correspond au grosses entreprises de l'informatique comme IBM, Microsoft, Bull qui se sont implantées dans beaucoup de pays. Ce sont soir des constructeurs, soit des société produisant des logiciels. Ces entreprises sont à différencié des SSII car elles offres une plus grande stabilités dans leurs résultats. Pour autant cette stabilité n'entraîne en aucun cas une stabilité de l'emploi pour leurs employés car à l'instar des trusts industriels ces dernières années ont été marquées par des plans de restructurations et autres délocalisation vers des pays où le travail coûte moins cher.
Cette partie regroupe les fiches métiers des emplois qui m'intéresse. J'ai personnellement rédiger celle du développeur d'application web car je n'ai pas trouver de correspondance dans les fiches métiers disponibles sur internet.
Le développeur d'application web a pour rôle de concevoir des programmes permettant de mettre dynamiquement en ligne le contenu d'un site internet. Les applications les plus courantes sont la création d'interface d'administration de site web, de forum. De telles applications sont souvent des reliées à une base de données qui sert à stocker les informations.
Le développeur d'application web ce doit d'avoir de bonne connaissance en programmation dans des langages tels que le PHP, ASP, mais aussi des outils de présentation que sont le HTML et le javascript. De plus, une bonne connaissance des base de données est obligatoire car les applications web servent souvent d'interface entre l'utilisateur et la base de données.
Un bon sens du contact est préférable afin de bien définir les besoins des utilisateurs en terme de fonctionnalités et de présentation de l'application.
La qualification d'un développeur d'application web varie de bac+2 à bac +5 selon ces responsabilité dans le développement des applications.
source : www.passinformatique.com
Travaillant au sein d'une Web agency ou d'une SSII, un intégrateur HTML assemble les différents éléments qui vont donner naissance à un site Internet, qu'il s'agisse de textes, d'images, d'animations ou de son.
Réunir les fichiers qui vont composer un site Web
Intervenant au sein d'une équipe de développement de sites Internet, l'intégrateur HTML a pour mission de réunir puis d'assembler les différents éléments qui vont composer un site, de la mise en page générale jusqu'aux animations. Le plus souvent, il est associé à la phase de réflexion technique qui précède le début du développement et est animé par le chef de projet. Quant à l'intégration proprement dite, elle n'intervient qu'une fois le développement des différents éléments terminé. En fonction de son expérience et de ses compétences, mais aussi de la taille des sites à créer, l'intégrateur aura des attributions plus ou moins larges : de la simple exécution jusqu'à des interventions sur l'ergonomie ou le design du site. Il peut aussi être amené à assister les développeurs et les infographistes au cours du développement en les conseillant en matière de format ou de taille des fichiers, de compression...
Autonomie, rigueur et capacités d'adaptation
Demandant à la fois de l'autonomie et du goût pour le travail en équipe, la fonction requiert aussi une grande rigueur, des capacités d'adaptation ainsi qu'une bonne rapidité d'exécution. Elle implique aussi un intérêt pour les innovations car les outils évoluent en permanence.
Pour les jeunes informaticiens
Pour ce type de poste, on recrute généralement de jeunes informaticiens débutants, à partir du niveau bac+2, ayant une sensibilité artistique et maîtrisant parfaitement les principaux langages du Web : en plus de la maîtrise du HTML, il faut être capable d'utiliser les différents langages de développement et les technologies de publication Web (Flash, Director, DHTML, XML, ASP, SQL, Java, Javascript, PHP...).
De multiples possibilités d'évoluer
Ce métier, qui constitue une voie d'entrée dans l'univers du Web, permet d'évoluer dans différentes directions, en fonction de ses aspirations : développement, management de projet, direction artistique, communication ou commercial...
source : www.passinformatique.com
Les réseaux sont de plus en plus nombreux, toujours plus complexes, interconnectés et ouverts sur l'extérieur. Le rôle de l'administrateur consiste à gérer un réseau pour permettre un fonctionnement optimal.
Gérer un réseau et le faire évoluer
Lorsque le réseau est déjà installé et en fonctionnement, l'administrateur est chargé de garantir un accès permanent et une qualité de service constante. Au quotidien, il assure le suivi du réseau : il définit des procédures et les fait connaître aux utilisateurs, gère les mots de passe, prend en charge le suivi des sauvegardes et résout les éventuels incidents qui peuvent survenir. Au-delà, il anticipe les évolutions technologiques et peut aussi être chargé d'intégrer de nouveaux outils et de concevoir des extensions. S'il travaille dans une SSII, l'administrateur est également amené à intervenir dès la conception du réseau du client. Il participe alors à l'analyse des besoins du client qu'il formalise avant de participer à la réalisation du réseau.
A l'écoute des utilisateurs
Ce poste demande des capacités d'écoute, indispensable pour cerner les attentes des utilisateurs, mais aussi une certaine force de persuasion. Il implique aussi de la rigueur, de la méthode et de bonnes facultés d'adaptation. Sang-froid et réactivité constituent aussi des atouts, notamment lorsqu'il faut faire face à des incidents ou des pannes.
Après quelques années d'expérience
Évolution naturelle pour le technicien réseau, ce type de poste, qui demande une bonne connaissance des différents environnements informatiques, peut être proposé à des diplômés de niveau bac + 2/3 en informatique disposant de quelques années d'expérience dans le domaine de l'exploitation ou du support.
Des possibilités d'évolution
Une expérience de plusieurs années dans cette spécialité peut ouvrir de larges perspectives, par exemple vers l'expertise ou le technique commercial.
Je suis un adepte des logiciels dit "libre". J'utilise le plus possible des logiciels sous licence libre car je pense que le libre est l'avenir de l'informatique et offre une vision nouvelle du secteur de l'informatique. Cela fait deux ans que j'ai découvert ce milieu par le biais de Linux et je ne cesse de penser que ce mode de développement des logiciels représente l'avenir.
Tout d'abord, pour moi le libre offre une alternative, de plus en plus sérieuse aux entreprises telles que Microsoft qui tentent d'établir un monopole dans leur secteur. Personnellement je pense qu'une situation de monopole entraînerai une stagnation de l'évolution générale de l'informatique car la compétition entre les différents acteurs du secteur de l'informatique est le moteur même de sa croissance.
Ensuite, je pense que l'aspect communautaire du libre est très intéressant et donne envie de s'investir dans cette cause. Les différents acteurs du libre forme une sorte de grande famille composée de personnes qui s'investissent chacun selon leur moyen. Le libre crée une nouvel sorte d'utilisateur qui se sent concerné par le développement même du logiciels et participe a son évolution. Les informaticiens peuvent participer au développement des logiciels, les utilisateurs donne des retours sur les logiciels (détection de bug, demande de nouvel fonctionnalité...), les personnes polyglottes participent à la traduction.
De plus je pense que le mode de développement des logiciels en open source est un facteur important de la réactivité de ce milieu. En effet le fait que tout à chacun puisse modifier, corriger, lire le code des logiciels est très important pour l'amélioration de ceux-ci , mais c'est aussi un moyen d'améliorer le transfert des connaissances entre les différents acteurs. La lecture du code source est comme la lecture de corrigé d'exercice, elle permet d'apprendre comment réaliser les choses et d'acquérir un savoir faire.
L'accès au logiciels du libre est beaucoup plus étendu que celles des softwares. En effet la traduction des logiciels et de la documentation est un phénomène très développé dans le monde libre. Ensuite le fait que les logiciels soit pour la plus part gratuits et librement distribuables, fait que tout à chacun peut accéder à ces logiciels.
La gratuité des logiciels soulèvent un problème essentiel. Un vieux dicton dit "tout travail mérite salaire", or si les logiciels sont distribués gratuitement les développeurs ne sont pas rémunérés. Ce raisonnement est faux, car le libre offre un nouveau système de rémunération qui fonctionne sous le mode de donation. Si un utilisateur ou une entreprise utilise un logiciel et veut soutenir son développement afin de l'améliorer, il ou elle donne sous forme pécuniaire les moyens au projet de survivre. Je reconnais que se mode de rémunération est un peu utopique car dans les faits beaucoup de personnes morales ou physiques oublient cette contrepartie. Mais la réussite d'un tel fonctionnement passe par la sensibilisation des utilisateurs et des entreprises au fait que si ils souhaitent améliorer leurs résultats et leur confort d'utilisation, il est nécessaire qu'ils participent à l'amélioration de leurs outils de travail. De plus le sponsoring des projets libres est pour une entreprise un moyen de ce faire connaître de manière bénéfique dans la communauté grandissante des utilisateurs du libre.
Pour finir sur ma vision du monde du libre je terminerai sur une constations simple et sans aucune autre valeur que ma perception des choses : De plus en plus Internet et l'informatique sont indissociables, le libre est née de ce réseau et se développe autour et grâce à lui, c'est pour cette raison que selon moi le libre présente une idée de l'informatique de demain.
Enfin, j'espère pouvoir personnellement pouvoir devenir un acteur du monde du logiciel libre et faire de mon travail un reflet de ma vision de l'informatique, mais cette vision reste pour moi un rêve personnel. Je pense que d'allier mon travail à cette cause est une utopie c'est pourquoi je n'en fait pas une priorité dans mon projet professionnel.
Mon projet professionnel est en étroite relation avec le développements du haut débit dans le monde et plus spécialement en France. Je projette de travailler dans la conception de sites internet et le développement du haut débit va selon moi entraîner de nouvelles demandes dans les entreprises. En effet grâce à l'augmentation de la vitesse de connexion des utilisateurs, l'utilisation unique du HTML et des images pour la présentation des sites web va devenir obsolète face à des technologies plus permissives et jusqu'alors délaissées car elles étaient trop "lourdes" pour des connexions à faible débit. Ce passage aux nouvelles technologies de présentation va je l'espère faire l'objet de fortes demandes de la part des entreprises dans les années futures. Ces entreprises ont tout intérêts a améliorer la présentation de leur sites qui sont devenus de véritables vitrines publicitaires. C'est dans ce domaine que j'aimerai tout spécialement travailler.
Ma vision de l'entreprise idéale diffère selon si l'entreprise est une société de service en informatiques (SSII ou Agence Web) ou bien une société dont les activités ne sont pas en lien directement avec l'informatique.
Dans le premier cas, j'aimerai travailler dans une entreprise à taille humaine (maximum 20 personnes), où les rôles et les responsabilités de chacun sont bien définis. L'avantage que représente à mes yeux une petite structure est que chacun à une brique à apporter au savoir faire globale de l'entreprise. Je suis plus attirés par une complémentarité des employés que par un volume important des mêmes qualifications.
Dans le second cas, j'aimerai que l'activité principale de l'entreprise m'intéresse et m'apporte de nouvelles connaissances sur ce secteur. Ensuite j'aimerai travailler dans un service informatique réduit(de 1 à 10 personnes) afin de pouvoir facilement échanger avec les autres employés du service informatique. Dans ce cas précis la taille globale de l'entreprise ne me préoccupe pas tant qu'elle est suffisamment importante pour permettre à l'entreprise de m'offrir une certaine sécurité d'emploi. Le secteur publique m'attire particulièrement pour cette sécurité.
Ces deux postes m'intéresse par leurs aspects créatif et relationnelle. L'aspect créatif dans le poste de développeur est plus marqué car sa fonction principale est la création d'application. J'aime la création d'application car j'aime l'aspect programmation de l'informatique, je l'apprécie pour la réflexion et l'éternelle renouvellement des connaissances qu'il demande.
Le poste d'intégrateur web quand à lui me parait plus relationnelle et dépendant du travail des autres membres de l'équipe. Il nécessite lui aussi une bonne connaissance de la programmation, mais moins poussée que celle d'un développeur web.
Enfin ces deux postes impliquent une étroite collaboration entre les informaticiens et les personnes issue du domaine artistique pour ce qui est de la présentation des sites. Cette collaboration me parait très intéressante.
La disponibilité et la patience des administrateurs réseaux que j'ai pu rencontrer au cour de mes études m'ont toujours impressionnées. Les relations avec les utilisateurs du réseau et la pédagogie occupe une place primordiale dans ce poste. Ces aspects m'intéresse car je pense avoir de bonne qualité dans ces secteurs des relations humaines.
Ensuite les connaissances générales d'un administrateur réseau se doivent d'être étendues et je ne demande qu'à améliorer les miennes.
Enfin les responsabilités qu'entraîne ce poste le rende à mes yeux intéressant.
Conclusion :
J'ai beaucoup appris sur moi au cour de l'élaboration de se rapport notamment lors de l'inventaire de mes qualités et de mes défauts, qui a nécessité une réflexion sur moi même assez importante. Ensuite j'ai pris du plaisir à redécouvrir tous les projets auxquels j'avais participé, ce qui m'a permis de faire un bilan sur mes connaissances et de me rendre compte que la plupart de mes projets sont loin d'être des applications distribuables.
La découverte du marché de l'emploi de l'informatique m'a plutôt effrayer même si les dernières prévisions sont assez optimiste.
Enfin, à la relecture de mon projet professionnel je me suis rendu compte que j'idéalisai beaucoup mon futur emploi mais que tous ces rêves ne passeraient certainement jamais au stade de réalités. Mon optimisme d'étudiant continu toujours au fond de moi à me faire penser le contraire.